FRAT CANA WELCOME
Du temps pour Toi, pour Moi, pour notre couple ...
1-2-3 CANA
Parce qu’il n’est pas toujours facile ni possible de se libérer toute une semaine, la « semaine Cana » vous est proposée sur trois week-ends. Sept journées thématiques pour retrouver le sens de la vie de couple, de l’engagement, de la famille. Partager, découvrir que Dieu agit dans notre couple… et faire la fête !
Les enfants sont pris en charge pour que chaque couple puisse vivre un moment nourrissant.
Pour qui ?
Pour tous les couples, mariés ou pas, les jeunes mariés, les jeunes parents, ceux qui veulent construire les bases d’un couple solide.
Ceux aussi qui sont ensemble depuis plus longtemps et veulent s'aimer davantage.
Comment ?
Durant les week-ends, des petits groupes de trois ou quatre couples pour parler des thèmes essentiels de la vie de couple :
Quand ?
LE TÉMOIGNAGE DE CHRISTINE ET RÉMI
La semaine Cana a été une des étapes marquantes des premières années de notre couple. Cela nous a aidés à nous connaître en profondeur, à se parler en vérité, à partager avec d’autres, à se réconcilier, à se dire « Je t’aime ». À vivre et re-vivre !
CONTACT:
Sophie Héron - 06 87 69 93 12 (ou 123canamarseille@gmail.com)
FRAT CANA ESPERANCE
Vous etes separe et avez besoin d'un soutien
Pour qui ?
Pour des personnes séparées ou divorcées, vivant seules
Il existe un lieu d'écoute et d'échange pour prendre du temps pour soi et trouver un chemin d'espérance. Et pourquoi pas une fraternité pour partager avec d'autres personnes ?
FRAT CANA SAMARIE
Pour les nouvelles unions après un divorce
Dans l’exhortation Amoris Laetitia sur la famille, le pape François rappelle la place pleine et entière des divorcés-remariés au sein de la communauté chrétienne. « Deux logiques parcourent toute l’histoire de l’Église : exclure et réintégrer. [...] La route de l’Église, depuis le concile de Jérusalem, est toujours celle de Jésus : celle de la miséricorde et de l’intégration. [...] Il s’agit d’intégrer tout le monde, on doit aider chacun à trouver sa propre manière de faire partie de la communauté ecclésiale, pour qu’il se sente objet d’une miséricorde “imméritée, inconditionnelle et gratuite“. Personne ne peut être condamné pour toujours, parce que ce n’est pas la logique de l’Évangile ! Je ne me réfère pas seulement aux divorcés engagés dans une nouvelle union, mais à tous, en quelque situation qu’ils se trouvent » (n°s 296 et 297).
Toute Personne est appelée à la sainteté, à partir du point où elle en est ...